mardi 27 juillet 2010

Cahiers de Bischheim Juillet 2010

Nous l’écrivions dans les Cahiers de Bischheim du mois de mai 2010 : la taxe d’habitation va encore augmenter à Bischheim !

La responsabilité en incombe au Conseil Général du Bas-Rhin. Le Conseil général en supprimant les abattements sociaux et familiaux qu’il pratiquait jusqu’à présent sur la taxe d’habitation va prélever pour l’année 2010 18 millions d'euros supplémentaires chez les contribuables de 343 communes du département du Bas-Rhin.

Les habitants de notre Ville sont directement concernés par cette décision du Conseil Général dont Monsieur KLEIN MOSSER est le 1er Vice-Président.

Les habitants de Bischheim verront ainsi la taxe d’habitation qu’ils versent au département du Bas-Rhin augmenter de 44,78% et cela impliquera une hausse pouvant se monter à 48 euros supplémentaires suivant les situations sociales et familiales.

Les élus PS-VERTS de Bischheim considèrent que ce choix de réduction ou de suppression de certains abattements sociaux et familiaux est inacceptable. Il va en effet frapper prioritairement les personnes des classes moyennes et modestes ainsi que les familles avec le plus grand nombre d’enfants.

Alors même que la situation économique très difficile que traverse notre région impacte fortement le budget de nombreux ménages, cette hausse brutale de la part départementale de la taxe d’habitation contribuera à fragiliser encore plus le pouvoir d’achat de nos concitoyens.

Nous regrettons le manque de transparence qui a entouré, selon le mot du Président du Conseil Général, cette « astuce » fiscale pour augmenter son prélèvement sur les ménages du Bas-Rhin et particulièrement ceux de notre commune. C’est en effet une délibération purement technique, sans aucune présentation des hausses fiscales qu’elle impliquait, qui a été soumise au vote des conseillers généraux.

Il n’est pas admissible que les élus du Conseil Municipal de Bischheim aient été totalement mis à l’écart de la préparation et de la mise en œuvre de cette disposition au vu des effets importants qu’elle aura chez nombre des habitants de la Ville de Bischheim. Les élus socialistes et Verts s’élèvent contre cette décision injuste du Conseil général.

Les élus PS-VERTS présenteront au vote lors du Conseil municipal du 1er juillet 2010 une motion afin que le Président du Conseil général du Bas-Rhin revienne sur celle-ci en réintroduisant avec effet immédiat les abattements sociaux et familiaux.

Groupe des élu(e)s PS-Verts « Changer Bischheim »

Nicolas Bouyer, Brigitte Beyhurst, Zoubida Naïli, Annie Romilly, Richard Sancho Andreo, Gérard Schann, Gérard Schimmer.

Cercle du silence vendredi 30 juillet 2010

Le prochain cercle de silence de Strasbourg aura lieu

vendredi 30 juillet 2010,

Place Kléber à 18 heures,

afin de manifester notre refus d’une politique de criminalisation des personnes démunies de papiers.

Il y a un an, Anaït nous relatait en quelques phrases vingt ans d’errance, de vie traquée et de tragédies qui ont trouvé leur réédition chez nous où son fils lui a été arraché.

« A mon arrivée à Strasbourg, j’ai retrouvé mon fils aîné et mon mari dont j’avais été séparée depuis plus de deux ans. Mais à peine un mois après nos retrouvailles, mon mari et mon fils ont été arrêtés par la police et enfermés au centre de rétention de Geispolsheim. Mon fils a été renvoyé en Arménie le 29 juin et personne ne peut nous dire ce qu’il est devenu. Mon mari a été libéré et il vit désormais caché, de peur d’une nouvelle arrestation. Par ailleurs, je n’ai aucun signe de vie de nos deux autres enfants qui ont réussi à s’échapper d’un centre de déportation de Russie d’où on voulait également les expulser en Arménie.

Qu’avons-nous donc fait pour que notre vie bascule dans une spirale infernale qui creuse ses sillons d’horreur depuis maintenant 20 ans et qui ne veut toujours pas prendre fin ? Notre malheur tient en une phrase : nous étions une famille normale, unie et heureuse, jusqu’au jour où mon mari a été rendu coupable d’être né d’une mère azerbaïdjanaise.

Arrivée à Strasbourg, je croyais avoir atteint une civilisation qui marquerait enfin la fin de cette errance et d’une part de nos souffrances. Mais quand ils ont arrêté mon mari puis mon fils, je me suis trouvée transposée en Russie. Quand ils m’ont arraché mon fils à peine retrouvé en l’expulsant en Arménie, l’espoir dans un monde humain s’est définitivement éteint en moi. Depuis 20 ans, mon mari et moi avons tout supporté en pensant à nos enfants. Aujourd’hui, nous avons perdu leur trace, à tous les trois. Je vis chaque jour dans la crainte qu’on nous annonce que leur sang a ensanglanté notre terre d’origine ou cette grande terre hostile de la Russie. Mon mari ne veut plus vivre, il dit que tout est de sa faute. Moi, maintenant que mes enfants sont perdus, je ne trouve plus la force de le contredire. Tout cela est trop à porter pour des parents. Nous sommes une famille désintégrée. »

Un an plus tard, Anaït a des nouvelles de son fils qui a réussi à fuir à nouveau en Russie. Voilà ce qu’il écrit :

« Mes chers parents,

Pour moi, c’est comme si c’était hier le jour où on m’a arraché à vous, de façon forcée et si cruelle. Les policiers m’ont mis des menottes, comme si j’étais un criminel, en me mettant dans un avion à destination d’Arménie. Comprendront-ils, ceux qui ont pris cette décision, que par cet acte, ils ont livré une fois de plus un agneau aux loups ?

Je veux vous demander quelque chose que vous devez absolument faire : traduisez ma lettre et faites en sorte qu’elle soit lue par ceux qui sont responsables de mes souffrances afin qu’ils en aient des remords.

A mon arrivée en Arménie, j’ai été cueilli par les agents de la sécurité nationale. Pendant plus de deux mois, j’ai été emprisonné, battu chaque jour et on m’obligeait à me tenir debout durant des heures jusqu’à ce que je tombe dans l’inconscience.

Le crime dont ils m’ont rendu coupable est le sang de ma grand-mère azéri, Leïla, qui coule dans mes veines, comme si l’on pouvait choisir ses grands-mères. Mon deuxième crime est qu’en demandant l’asile à la France, j’ai porté atteinte à la réputation de l’Arménie. C’est seulement deux mois plus tard que j’ai été relâché à la condition que je taise les mauvais traitements subis et que je quitte l’Arménie dans les plus brefs délais.

C’est mon oncle qui a dû signer cet engagement et il m’a accueilli chez lui, le temps d’essayer d’organiser ma fuite d’Arménie. A peine deux jours plus tard, et malgré nos précautions, le voisinage a eu connaissance de ma présence. Ils sont arrivés, ils étaient tout un groupe, pour me battre cruellement, sous les yeux horrifiés de la femme et des enfants de mon oncle.

La raison est toujours la même : le sang des ennemis coule dans mes veines. Tu sais, maman, j’avais seulement 12 ans quand on a dû fuir notre maison mais parmi les agresseurs, j’ai reconnu tes anciens camarades d’école avec qui tu as étudié durant dix ans, j’ai aussi reconnu nos anciens voisins. On m’a transporté, inconscient, à l’hôpital où on a diagnostiqué une commotion cérébrale et quatre côtes fracturées.

Enfin, quelques jours plus tard, mon oncle a réussi à me faire fuir en Russie. Hélas, comme vous le savez, la Russie n’est pas non plus un lieu où des misérables comme nous peuvent avoir la vie sauve. Je vous embrasse fort.

Vartan, le 7 juin 2010


dimanche 4 juillet 2010

L'augmentation des Impôts locaux ...

Beaucoup a été dit et écrit par des élus de droite et de gauche sur la hausse de la fiscalité du Conseil Général du Bas-Rhin pour 2010. À Bischheim, les contribuables ne sont pas épargnés par cette hausse, et j’oserai dire, Monsieur le Maire que vous êtes doublement en première ligne, en tant que 1er vice-président de du Département et aussi en tant qu’élu en charge de l’action sociale. Vous étiez de ce fait doublement au courant et en accord sur cette décision qui touche à Bischheim justement, en premier lieu, les personnes les plus précaires.

Invoquer le désengagement de l’État et du gouvernement UMP n’est pas toujours facile à comprendre venant d’élus locaux UMP. Il y aurait entre les discours et la réalité un fossé.

Il faut dire que la gestion calamiteuse des frasques des ministres et de la double casquette d’Eric WOERTH n’arrange pas la situation. Cela crée chez nos concitoyens un sentiment d’incompréhension et de raz l’bol. Certains, et ils sont de plus nombreux, perdent confiance dans le rôle protecteur et juste des institutions qui sont censées les aider et de leur donner un environnement stable et solidaire.

Car voilà, la brèche dans votre démonstration, celle du Président KENNEL, de vos collègues maire. À vous entendre, le conseil général a opté pour une mesure de sauvegarde de ses intérêts et à renvoyer à d’autres, l’année prochaine la recherche de solution. Cette façon d’agir, au-delà de son absence de transparence, de communication, de concertation avec les autres collectivités, souffre surtout d’un mal qui ronge notre société : après moi le déluge ! Chacun pour soi ! D’abord moi, mes intérêts et après nous verrons.

En dehors de considération purement politicienne, tant il est vrai qu’elles peuvent aussi masquer le fond du problème, j’oserai dire que nous sommes face à un cas d’école pour un devoir de philosophie : « que reste-t-il de la morale en politique ». J’ai bien peur que et cette hausse de la fiscalité locale ne fera que renforcer le décalage croissant entre les citoyens et les élus.

Richard SANCHO ANDRÉO
Conseiller Municipal
Intervention au Conseil Municipal du 01/07/2010

Rapport d’observations définitives de la Cour des Comptes ...

Tout d’abord, un rapide retour en arrière. La Ville de Bischheim a fait l’objet d’un rapport en 1999, pour les exercices de 1991 à 1997 et en 2004, pour les exercices de 1997 à 2004. La SCAEB a fait l’objet d’un rapport en 1999 et un rapport est en cours. Tous ces rapports sont sur le site de la Cour des comptes régionale.

Le présent rapport de 2010 est dans la continuité des rapports précédents et il reprend notamment des points sur les relations entre la Ville de Bischheim et la SCAEB. Sans préjuger du rapport 2010 sur la SCAEB mais au vu des rapports financiers qui m’ont été remis lors de l’assemblée générale de la SCAEB ce mardi, je me dois d’exprimer mon inquiétude et en tant qu’administrateur au titre de la Ville de Bischheim ma demande formelle que certains points soient clarifiés au plus vite.

Notre Ville, comme vous le savez tous et toutes, et le rapport le pointe explicitement souffre d’un endettement chronique, du fait notamment d’une absence d’un plan pluriannuel d’investissement et de priorités sociales et d’intérêt collectif. À cela se rajoute le fait que la SCAEB au lieu de concourir à l’amélioration de nos services et de notre patrimoine est une vraie pompe à argent des deniers publics.

Cela apparaît clairement dans la gestion du parking de la Voûte étoilé et dans la location du rez-de-chaussée des services de la Mairie dans l’Ilot Mairie.

Ce que le rapport ne relève pas c’est la vente par la SCAEB du parking de la Voûte étoilée à la Ville ; ce qui à l’époque avait largement soulagé les finances de celle-ci.
Cette question, nous l’avons déjà soulevée. Elle est reprise par la Cour des comptes, mais elle ne règle en rien la perte financière pour la Ville, et nécessairement le manque pour financer d’autres actions d’utilité publique.

Quant au parking de l’OPUS 67 que j’ai visité l’autre jour il est désespérément vide.
Mais il y a plus grave ! Le Château de Wingen, rappelons-le est la propriété de l’association des Amis de St Laurent. Il est confié par un bail emphytéotique à la Ville de Bischheim (comme d’ailleurs la salle du Cercle dont les propriétaires sont les Dames protestantes ou la salle St Laurent sont les propriétaires est la Paroisse St Laurent), bail emphytéotique d’une durée de 50 ans avec à la charge de la Ville tous les travaux et à la charge du CCAS la gestion.

C’est à ce niveau que les complications commencent, car le CCAS a confié la gestion du Château à la SCAEB à charge de celle-ci de faire tourner cet établissement et de reverser l’excédent annuel au CCAS. Sur le site (pas facile à trouver, l’établissement est de fait un lieu pour des mariages et des évènements sociaux pour des personnes fort éloignées de Bischheim).

Rappelons que la Ville occupe les lieux pour ses colonies de vacances et qu’elle rémunère de ce fait la SCAEB. Or les rapports de la Cour des comptes depuis 1996, les résultats de la SCAEB pour 2009 nous montrent que la ressource hébergement est continuellement déficitaire, malgré le fait que le CCAS paie tous les frais de réparation et de rénovation et que la Ville occupe les lieux 5 semaines par an.

Je trouve inadmissible que le budget de l’action sociale supporte le déficit du Château depuis 1991 ; qu’il y ait régulièrement de la part du CCAS une annulation de la dette : La dernière était d’un montant de 220 000€.

Mais il y a un point dans ce dossier à tiroir : la Ville a investi dans un équipement dont elle n’est pas propriétaire. Il faut espérer qu’elle n’aura pas à rompre le bail. Si cela devait être le cas, il faut prévoir dès maintenant une négociation avec le propriétaire pour que la Ville retrouve les fonds engagés.

Quand elle ouvrira la gestion du Château à la concurrence, il faut qu’elle prévoie que le loyer soit reversé intégralement au CCAS.

Bref je pense que tout le monde a compris que cette opération met la Ville doublement en difficulté par le biais du CCAS et par le biais de la SCAEB.
Il y a urgence à mettre de l’ordre.

D’autres satellites de la Mairie sont pointés par le rapport et le fait que les situations litigieuses s’empilent et le fait, il me semble d’une forme de laxisme politique où le clientélisme prend parfois le dessus. À la lecture d’ailleurs des rapports, pour des connaisseurs de la Vie de Bischheim ; Nous pourrions rajouter l’Harmonie de Bischheim présidé par le 1er adjoint, mais où depuis les dernières élections, il n’y a pas eu de désignation de représentants de la municipalité.

Mais le rapport pointe surtout le CASCB qui devient un ovni plus qu’un satellite sans fonctionnement réel mais avec un fond de réserve de 70000€ qui a permis en 2009, de payer la location de la salle des fêtes de Schiltigheim pour le gala de l’école de danse ou les frais engagés, pour la soirée de Nouvel an 2009 annulée faute de participants...

Il y a là aussi urgence à mettre de l’ordre et à tirer au clair la comptabilité du CASCB/
Et puis l’OMSAL, c’est le pompon ! Quand je me souviens du débat lors du dernier conseil, je me dis que nous aurions pu rédiger le rapport. Mais non chacun à sa place. En tout cas il est clairement écrit et l’adjoint HOERLE qui s’est démené à juste titre, car reconnaissons qu’il a le sens des responsabilités et qu’il a très vite vu que la sortie aux flambeaux était hautement dangereuse. Dans ce cas de figure qui aurait été responsable en cas d’accident ?
Là aussi, l’urgence s’impose pour que la Ville retrouve la maîtrise de la vie culturelle et que les associations reprennent confiance.

Au cœur du rapport de la Cour, nous retrouvons ainsi des questions très sensibles : La vie sociale, la vie culturelle, le soutien à la vie associative : bref toutes les questions liées à la vie quotidienne et la vie sociale. Les observations sur la bibliothèque, l’école de musique, l’école de danse, la programmation culturelle souffrent d’une absence de connaissance du public accueilli. Les chiffres de fréquentation de ces lieux montrent la faiblesse de la fréquentation des habitants de Bischheim. L’accès à la culture pour tous en prend un coup. Je rajouterai qu’il y a une autre urgence, c’est celle de l’avenir de la bibliothèque dans le cadre de la construction de la future médiathèque Nord. Nous appelons là aussi à une réflexion active et nous nous interrogeons fortement sur les orientations en matière culturelle et sur le rôle de Nelly KRAEMER, l’adjointe à la culture.


Intervention de Richard Sancho Andreo, au Conseil Municipal du 01/07/2010, pour le groupe des élus PS-VERTS

Rénovation et restructuration du site Ecole maternelle CENTRE de BISCHHEIM



Monsieur le Maire,

Les Bischheimois, et peut-être même certains de vos électeurs, pourraient se dire : "Il était temps !". Les inscriptions en allemand, toujours visibles aujourd'hui, sur la façade montrent déjà, de l'extérieur, l'ancienneté de la nécessité de travaux importants. Les plus anciens se souviennent que vous aviez inscrit cette rénovation dans vos promesses électorales de votre première élection en 1983. 27 ans se sont écoulés

.

Je ne dis pas que rien n'a été fait depuis. Certes cette école a été réhabilitée deux fois et des travaux de sécurité ont été réalisés. Mais, vous-même, dès la première phrase de cette délibération, reconnaissez "la vétusté des locaux de l'école Maternelle du CENTRE".

Le programme des travaux et le montant prévisionnel de l'opération présentés dans la délibération amènent plusieurs interrogations. Quels sont les éléments de diagnostic qui vous permettent de nous présenter ce projet sous cette forme ? Quel est le plan de financement sur lequel vous vous êtes basé pour le chiffrage du montant prévisionnel de six millions cent cinquante mille euros ? Comment s'intègre cette rénovation dans le projet, plus important, de l'îlot centre ?

Dans l'édition détaillée du budget supplémentaire 2010, on peut lire qu'une étude sur la rénovation de l'école du centre coutera un peu plus de sept mille euros à la collectivité, aux Bischheimois. Or, aucune communication ne nous a été faite sur les résultats de cette étude, que ce soit ici en Conseil ou à la Commission Education, jusqu'à ce jour. Ces derniers mois, on a pu entendre tout et son contraire à ce sujet. Dans un premier temps, il s'agissait de destruction complète des bâtiments puis de rénovation de l'existant au regard de l'importance du coût du premier projet. Mais, encore une fois, ces informations n'avaient rien d'officielles et n'étaient que des bruits de couloir. C'est de la même manière que l'on peut apprendre quelque chose sur le projet concernant l'îlot centre. Car là aussi on attend les résultats de l'étude de l'îlot centre qui a coûtée dix mille euros au contribuable (inscrit au Budget supplémentaire 2009). A ce sujet, je me permets de vous rappeler votre engagement, lors de la séance du 14 décembre 2009, à nous en faire la présentation. Je vous cite, Monsieur le Maire : "Nous avons toujours dit que nous présenterons l'étude lorsqu'elle serait déposée par la personne qui en est chargée". Nous sommes donc dans l'attente de savoir, de connaitre les projets d'urbanisation à cet endroit.

Des locaux pour l'école de danse et l'école de musique sont prévus dans ce projet. Mais, que devient la Maison des associations ? Cela semble avoir été oublié. Où se tiendront les permanences de l'OMSAL ? Que deviendront les différentes associations implantées actuellement sur ce site, l'ACOL, le billard club, le club Aurora, la SAJO, … ( et j'en oublie surement) ?

Enfin, permettez-moi de m’interroger sur la façon dont vous allez trouver les millions nécessaires à la réalisation de ce projet tout en tenant vos engagements de ne pas augmenter les impôts locaux et la dette de la commune.


Nicolas BOUYER

Conseiller Municipal


intervention au Conseil Municipal du 01/07/2010